L’OEIL DANS LE VISEUR
Attiré très tôt par le japon à travers la pratique du karaté-do, il s’initie en autodidacte à la langue japonaise dès l’âge de 13 ans.
S’il parle, lit et écrit aujourd’hui cette langue, il étudie également la langue officielle chinoise, le mandarin, et c’est en Asie qu’il effectuera ses premiers voyages et que naîtra une passion profonde pour la photographie.
Dans la lignée d’un Eric Valli, les photographies de Sylvain Biémont, grâce à un sens inné de la lumière et une exigence technique poursuivie sans faille, nous transmettent toute l’émotion que renferment les paysages les plus extraordinaires de la planète. Ses portraits, sensibles et sans artifices, sont autant de rencontres improbables et saisissantes.
Guidé par la seule passion et libre de toute préoccupation mercantile, c’est avec surprise et humilité mais aussi un grand plaisir et un sentiment de reconnaissance qu’il a accueilli les premières offres d’achat de ses clichés.
Encouragé par les réactions d’amateurs avertis et de professionnels de l’image, il envisage maintenant d’exposer et faire connaître son travail à un public plus large.
Invitation au voyage d’un baroudeur au coeur tendre et à l’oeil aiguisé, les photographies de Sylvain Biémont sont présentées ici par destination ; du Brésil à la Chine, en passant par l’Iran, la Croatie, ou encore les Philippines, mais aussi Paris où il vit entre escapades au long cours et périples aux quatre coins du globe.
